
Deux cents. Nous étions, pour ce neuvième dîner, exactement deux cents membres, et leurs invités, réunis autour de trois conteurs exceptionnels pour ce dîner de Noël, des Lumières, et de fêtes de fin d’année.
Le père Benoist de Sinety nous a fait rentrer dans les maisons endeuillées de Mostar en Yougoslavie, en 1993 ; le président de la Fondation pour l’Islam de France, Ghaleb Bencheikh, nous a ouvert les portes d’un palais d’Orient et de son double miroir ; le Grand Rabbin de France nous a fait réfléchir – et sourire – au pied du mur des Lamentations. Pour mieux nous y préparer, Marina Chiche a joué Bach, en solo, sous la grande verrière de la Samaritaine. Karol Beffa a eu le dernier mot, la dernière note, dans une de ses improvisations au piano dont il a le secret, et qui déboucha sur une Marseillaise, sans doute trop timidement chantée ce soir-là, mais nous aurons d’autres occasions.
Vous êtes ensuite partis avec, en cadeau, les exemplaires de nos choix de livres, rédigés ou publiés par nos membres : l’Eloge du Courage de Jean-Claude Gallet avec Romain Gubert ; les Ecrivains sous les drapeaux, incluant Jean-René van der Plaetsen et Patrice Franceschi ; les Odysséennes de Sylvain Fort ; la Jeunesse française, l’école, la République de Iannis Roder ; L’Egale dignité des invisibles, avec Marie-Aleth Grard pour ATD Quart Monde.


